On parle ici d’une société de gestion, qui prend en charge de collecter l’épargne un contribuable et assure sa gestion dans la location immobilière. Avec ce mode d’investissement, le titre du bien vous appartient mais en réalité, les scpi s’occupent de toutes décisions. En d’autres termes, l’investisseur ne détient pas directement les biens du point de vue physique.
Pour les SCPI, il y a deux familles pour les épargnes : celles d’habitation et celle commerciale. En ce qui concerne l’habitation, il est question de réaliser une plus-value avec ou sans bénéfice accompagné souvent d’un allègement fiscal. Pour le cas du commerce, l’épargnant cherche à réaliser des revenus de la location de façon optimisée. L’Autorité des marchés financiers surveille de près l’activité des SCPI avec le contrôle des commissaires aux comptes. Ce qui rassure en fait la plupart des investisseurs concernant la gestion de leur placement.
Se lancer dans la « pierre papier », vous aurez à acquérir des parts de capital d’une SCPI qui propose la souscription. Il existe de type pour le capital : fixe ou variable. Si vous choisissez le capital variable, vous pouvez modifier le montant de souscription à tout moment. Seulement, qu’il y a un plafond qu’il faut respecter.
Le fond fixe consiste à acheter des parts de la SCPI dès son lancement. L’élévation de capital s’effectue selon l’arrivée de nouvelles parts dont les conditions sont explicitées dans les statuts. L’augmentation du capital ne peut plus se faire si moins de 75% des investis y sont membres avec le phénomène.
Grâce aux SCPI, il est plus facile à un investisseur d’accéder dans le marché de l’immobilier. Ce qui constitue un point fort du système du fait que le montant pour l’investissement est moins élevé comparé à un achat direct. Il en est de même pour le rendement, son taux est beaucoup plus intéressant environ 6% dans la moyenne. Cela n’empêche qu’un acheteur en direct ne peut bénéficier des mêmes avantages. Ce dernier peut même estimer ses revenus fonciers ainsi que les charges liés à l’emprunt.
Il y a alors des facteurs qui entrent dans l’imposition des loyers décidés par les SCPI comme les prélèvements sociaux. Selon la politique qui s’applique aux SCPI, le souscripteur profite de plusieurs types d’avantages. Pour une SCPI Scellier, son impôt se réduit au moment même de la souscription.
Malgré les bons avis sur les SCPI, mieux vaut rester vigilant concernant les frais de gestion qui peuvent atteindre 7 à 10%. Il en est de même pour les risques de baisse de valeur des parts des SCPI qui peuvent se produire à tout moment.
La revente des parts dans les SCPI exige un peu plus de temps avant sa validation. Ce qui n’est pas le cas pour d’autres investissements. Ceci étant donné que le bien appartient physiquement à la société. Même si un contrat de vente se conclu, l’investisseur ne peut toucher l’argent qu’à la fin du laps de temps que la société de gestion a fixé.
Certes, les avis récoltés ainsi la confirmation des experts affirment que le système de la pierre-papier représente la solution idéale pour diversifier son patrimoine. Il suffit de prendre la précaution de disposer une épargne extérieure comme les livrets défiscalisé pour diminuer voire même d’éliminer tous les risques. En effet, en ayant des investissements à moyen ou à court termes en parallèle, vous serez moins exposé à des contraintes et à des risques.
Ainsi, nombreux sont ceux qui souscrivent à une assurance-vie avec un investissement dans des les SCPI. Les groupes Cortal, Consors, Linxéa, April Patrimoine, etc. proposent ce genre de service. Les deux avantages les plus intéressantes sont une fiscalité qui attire, et une plus grande liquidité.